Dernière mise à jour : 13 sept. 2021

Oui, on le sait bien, c’est un grand classique et un passage que l’on se croit obligé… L’agence débarque dans votre salle de réunion et vous déroule des slides avec les logos de tout votre univers concurrentiel (comme si vous ne le connaissiez pas déjà !) et tous les chiffres trouvés sur Google (alors que vous, vous avez des vrais chiffres !). Tout cela pour parvenir à l’Everest de la promesse : faire di-ffé-rent. Ori-gi-nal. Forcément…
Alors benchmark or not benchmark ?
A force de se comparer les unes aux autres, les marques finissent souvent, inconsciemment ou non, par se plagier en n’apportant finalement que des modifications anecdotiques. Elles en oublient trop souvent de se construire une personnalité propre.
D’autant que, malheureusement, le benchmarking reste la plupart du temps confiné dans des univers consanguins : l’assurance regarde l’assurance, la banque regarde la banque, la boulangerie regarde la boulangerie, etc.
Autant dire que lorsqu’il est préalable aux travaux de communication, un benchmark annihile à coup sûr toute bravoure stratégique et toute audace créative.
Du coup, chez QONTINUUM, on évite au maximum de benchmarker avant de se lancer dans la stratégie et la créa. Pour être précis, on vous épargne le partage imposé de cette étape qui n’a d’autre intérêt que de parfaire notre propre culture de votre secteur et de vous prouver que l’on tout compris.
Pour nous, le meilleur des benchmarks c'est de vous écouter.
En revanche, on adore faire une présentation à la fin sur le mode « ça, c’est les autres » et « ça, maintenant c’est vous ».